Galapiat Cirque

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On annonce Septembre !

Le nôtre, comme chaque année, est bien chargé. Alors que l’équipe de la Brise de la Pastille s’apprête à entamer son 5ème mois de tournée – avec toujours quelques livres « Un éclat dans le cœur » sous le bras - les équipes en création Timbres de Peaux et Courbatures, quant à elles bossent sur notre lieu à Minihy-Tréguier. Sous yourte, sous chap’, sous le soleil. Et si tu as envie de venir voir comment la création de Jonas Séradin, Timbres de Peaux, évolue, on organise 2 sorties de résidence les dimanche 3 et vendredi 8 septembre, à Minihy-Tréguier.

L’équipe de BLANC s’apprête, elle, à vivre un grand moment, celui de jouer 6 fois devant un public (principalement) parisien (on se sait pas pourquoi ça crée toujours un peu d’angoisse) au Théâtre Silvia Monfort. Pour s’y préparer, on consacre 10 jours de reprise avant de débarquer à Paris et jouer du 22 au 30 septembre.

Et puis, une petite délégation majoritairement finlandaise se prête au jeu de la carte blanche pour une ouverture de saison, comme on dit dans notre jargon. Et ça se passera le samedi 22 septembre au Centre culturel Athéna à Auray.

Côté « bureau », début septembre, Yvain se rendra à Paris pour le Conseil national du SCC. Oui, on l’avait annoncé en Mai dernier mais Galapiat Cirque a aujourd’hui un poste au Conseil national du SCC. Et c’est Yvain Lemattre, notre administrateur qui représente le collectif. François Alaitru, coordinateur des projets locaux se rendra à Toulouse durant le festival de Rue de Ramonville pour participer à une rencontre organisée par ARTO et la Toulousaine de diffusion. On y débattra que comment faire corps pour affronter crise économique, écologique, sécuritaire…on pourrait encore en ajouter hein…

Et puis côté SCIC, les 40 associé·es se réuniront pour notre habituelle Assemblée Générale de septembre pour qu’on discute ensemble de nos priorités l’an prochain. Parce qu’encore une fois, on ne manque pas d’idées, mais on sait qu’on ne peut pas tout faire. On n'échappe pas à la crise économique de notre pays, hein. Ni à aucune autre d'ailleurs.